vendredi 9 mars 2012

Yelle trop fresh!

Dove a fait appel à la chanteuse Yelle pour écrire la chanson de leur nouvelle pub. Et la chanteuse a même tourné le spot publicitaire... regardez! Dove n'est pas un savon... Et Yelle n'est décidément pas qu'une chanteuse...c'est une actrice née. L'interprète de "Parle à ma main" a tourné dans le nouveau spot publicitaire de Dove, pour leurs gels douche. En prime, la chanteuse a composé et interprété le titre de la pub: "Go Fresh". "C'est mieux qu'une claque le matin/ C'est mieux qu'un bon jus de raisin..." C'est frais... et complètement kitsch! Décidément, Yelle ne fait rien comme tout le monde...

Les critiques, Yelle, ça ne lui fait ni chaud ni froid... Elle étonne le monde par ses choix éclectiques et a bien raison! La chanteuse propose aujourd'hui un remix bien personnel de Hot'N'Cold de Katy Perry. Découvrez le single! On ne l'aurait pas vu venir... Yelle s'est frottée au tubesque "Hot'N'Cold" de Katy Perry, en proposant une version bien particulière de la chanson, en accord avec son style. C'est un remix électro du titre sur lequel la chanteuse revisite le refrain dans une version française: "Fais pas ci/ comme ça/ T'aimes le chaud, t'aimes le froid/ Tu m'auras plus comme avant avec un battement de cil". Electro-franchisé, le titre n'en ressort pas plus mal que l'original!

lundi 19 septembre 2011

Yelle part en campagne sauvage pour la PeTA

Yelle a accepté de prêter son image à la nouvelle campagne de la PeTA. Une campagne très sauvage qui correspond parfaitement à la reine de la pop frenchie. La nouvelle campagne PeTA a choisi Yelle, alias Julie Budet, pour prêter son image à la défense des animaux. Pamela Anderson et Eva Mendes ont elles aussi déjà accepté de poser dénudées pour la célèbre association.

La classe pour notre chanteuse de pop frenchie ! campagne où Yelle est à l'honneur dans son côté le plus sauvage reprend la pochette de son deuxième album Safari Disco Club. Le slogan qui accompagne ce cliché est tout trouvé : "Laissez votre compassion rugir. Soyez bien dans votre peau, et laissez la leur aux animaux". La chanteuse Yelle, un brin déjantée et fana des looks colorés, est l'ambassadrice idéale pour enfiler des combinaisons en imprimés léopard ou girafe avec naturel.

"Le style vestimentaire de Yelleest un exemple criant de l'une des nombreuses manières possibles de s'exprimer avec créativité sans utiliser la peau des animaux. Comme Yelle le sait, il n'y a rien de chic dans une industrie qui électrocute des animaux et les dépèce vivants pour leur fourrure" explique Isabelle Goetz, chargée des campagnes PeTA. Les fans de Yelle et son binôme GrandMarnier et Teprde pourront bientôt les applaudir sur les scènes d'Allemagne, de France et d'Amérique du Sud interprétant des morceaux de son nouvel album, Safari Disco Club.

vendredi 24 juin 2011

Yelle : sa publicité pour Dove vaut le coup d'oeil. Regardez

Dove a eu la bonne idée de faire appel à Yelle pour lancer son nouveau gel douche. Très professionnelle, la chanteuse a écrit une chanson rien que pour le spot publicitaire de la marque. Univers et chorégraphie aussi rétro que kitsh, Yelle se donne à fond pour vanter les mérites de Go Fresh, le nouveau gel douche de Dove.

Pour ce produit clairement destiné aux adolescents, la marque a tout misé sur cette campagne publicitaire et espère bien créer un véritable buzz sur internet, conforté par le succès de l'expérience déjà tentée par Wilkinson. Pour vendre son nouveau rasoir, la marque avait en effet fait appel à "Simone, elle est bonne" en mars dernier. Les fans de Yelle apprécieront sans doute l'effort, pour les autres, rien n'est moins sûr...

mardi 7 juin 2011

Yelle, le blog de tournée : à la conquête de l'ouest US ‎

On croit d'abord entendre Pierre et le loup colorisé par les studios Disney, ou Poulenc en goguette chez Monsieur Hulot. Aux premiers coups des maillets sur le xylophone, on sait qu'il faudra en baver pour s'ôter des neurones le thème central intrépide de Quadrille : un décapage cervical au Karcher, une cure de G. Squad, l'intégrale de Magma, rien ne pourra l'y déloger. Mais là où la plupart des compositeurs de BO auraient estimé leur mission accomplie, Bertrand Burgalat ­ qui réalise ici son premier score, un score sans appel pour le reste de la production française reléguée en bas de tableau ­ ne succombe pas à la paresse des déclinaisons. Entièrement orchestrée par Burgalat lui-même pour un ensemble de vingt-huit musiciens dirigé par David Whitaker ­ l'homme de Londres de Gainsbourg ­, enregistrée dans les lambris d'Abbey Road, cette partition grand format réanime les merveilles oubliées d'un certain âge d'or de la musique au cinéma : Morricone pour les clavecins entêtants, Mancini pour les ballets miniatures, Rota pour les gimmicks pétillants. On pourrait comme ça continuer le jeu des ressemblances ­ de Roubaix, Loussier ­, on n'y trouverait que du beau linge. Mais ce serait réducteur de ne prêter à Burgalat qu'un talent récitatif, la prouesse majeure consistant justement à avoir su doser au gramme près les influences sans jamais céder au maniérisme, au plagiat bien fichu, grâce notamment à l'originalité des thèmes. Ici, c'est le Burgalat compositeur qui fait la différence : celui qu'on a hâtivement catalogué parmi les amuse-gueules easy-listening se révèle plus roublard et singulier qu'un vulgaire ambianceur de parties fines, avec dans son chapeau toute une gamme mélodique dont il aurait pu nourrir deux douzaines de BO ordinaires. A cette dépense sans compter de hautbois, de violons, de harpe, de flûtes et de trompettes, Burgalat a même ajouté quelque menue monnaie un peu trébuchante avec deux chansons interprétées lascivement par Miss Lemercier, une poignée de bricolages maison ­ avec synthés garantis pur Tricatel ­ et, surtout, une Leçon de solfège époustouflante qui perfore à coups de glissandi lugubres la belle insouciance de l'ensemble. Et tout ça se termine bien par un Quarapicho qui sera à coup sûr tube de l'été. Au Japon.